Di seguito Traduzione a cura redazione Blog Human Rights
Les Maldives, son soleil, ses plages et... ses enfants dans le couloir de la mort. Depuis le 27 avril, l'archipels au sud de l'Inde a rétabli la peine de mort pour les enfants. La mesure, contraire au droit international, met fin à un moratoire de 60 ans de la peine capitale. Ce mercredi, la mobilisation est au plus fort sur les réseaux sociaux. Nombre d'anonymes appellent à boycotter cette destination de rêve, devenu enfer pour les habitants.
Et Jacques Maillot, le fondateur de la société «Nouvelles frontières» lui-même, d'alerter ses pairs voyagistes, mardi sur RMC, «pour une action immédiate».
«En temps de paix, toute condamnation à mort est un crime en soi», s'indigne un internaute sur Facebook. «Il ne faut plus y faire du tourisme», prévient un autre. Début mai déjà, l'historien Giuseppe di Bella s'insurgeait dans leNouvel Obs: «Je me vois très mal me prélasser sur les plages de ce paradis tropical de carton-pâte, sans me soucier du sort funeste qui pourrait être réservé à ses habitants, mineurs et enfants compris. Je refuse de contribuer à l'essor économique d'un tel pays». Selon lui, «il ne fait aucun doute que les autorités des Maldives pourraient revoir leur position si elles constataient une baisse significative de la fréquentation touristique. Chacun d'entre nous agira en fonction de ce que lui dit sa conscience... » incitait-il.
Dans le couloir de la mort jusqu'à leurs 18 ansAux Maldives, l'Islam est religion d’État. C'est donc pour renouer avec la charia que le président Abdulla Yameen Abdul Gayoom a pris une telle décision, insistant sur le fait que «le meurtre doit être muni par le meurtre». Et l'âge de la responsabilité criminelle étant fixée à 10 ans, des enfants seront ainsi soumis, au même titre que les adultes, au retour de la peine capitale. Pour certains crimes tels la consommation d'alcool ou l'apostasie - le fait de renoncer à l'Islam - l'âge de responsabilité est même de 7 ans. Dans les faits, les adolescents coupables ne seront pas exécutés avant leur 18 ans. Ils attendront jusqu'à leur majorité dans le couloir de la mort. Une torture que peu peuvent supporter.
Dès le 27 avril, le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme (HCDH) a dénoncé cette mesure mais le président maldivien a réaffirmé ses intentions. Sur Twitter, nombre d'internautes s'insurgent de «l'indifférence» dans laquelle cette loi a été réinstallée.
Traduzione a cura redazione Blog Human Rights
Le Parisien
E Jacques Maillot , il fondatore di " Nuove Frontiere", ha allertato i turisti Martedì su RMC "per un'azione immediata."
"In tempi di pace, qualsiasi condanna a morte è un crimine in sé", si indigna un internauta su Facebook . " Non dobbiamo più fare turismo lì", avverte un altro . Già all'inizio di maggio , lo storico Giuseppe di Bella si ribellò in Lenouvel Obs: "Mi vedo molto male a rilassarmi sulle spiagge di questo paradiso tropicale di cartone, senza preoccuparci del destino a cui potrebbe essere dato ai suoi abitanti, minori e bambini . Mi rifiuto di contribuire allo sviluppo economico di questi paesi." Secondo lui, "non c'è dubbio che le autorità delle Maldive potrebbero rivedere la loro posizione, se hanno percepissero un calo significativo nel settore del turismo. Ognuno di noi si baserà su quello che gli suggerisce la sua coscienza ...", ha incoraggiato.
«En temps de paix, toute condamnation à mort est un crime en soi», s'indigne un internaute sur Facebook. «Il ne faut plus y faire du tourisme», prévient un autre. Début mai déjà, l'historien Giuseppe di Bella s'insurgeait dans leNouvel Obs: «Je me vois très mal me prélasser sur les plages de ce paradis tropical de carton-pâte, sans me soucier du sort funeste qui pourrait être réservé à ses habitants, mineurs et enfants compris. Je refuse de contribuer à l'essor économique d'un tel pays». Selon lui, «il ne fait aucun doute que les autorités des Maldives pourraient revoir leur position si elles constataient une baisse significative de la fréquentation touristique. Chacun d'entre nous agira en fonction de ce que lui dit sa conscience... » incitait-il.
Dans le couloir de la mort jusqu'à leurs 18 ansAux Maldives, l'Islam est religion d’État. C'est donc pour renouer avec la charia que le président Abdulla Yameen Abdul Gayoom a pris une telle décision, insistant sur le fait que «le meurtre doit être muni par le meurtre». Et l'âge de la responsabilité criminelle étant fixée à 10 ans, des enfants seront ainsi soumis, au même titre que les adultes, au retour de la peine capitale. Pour certains crimes tels la consommation d'alcool ou l'apostasie - le fait de renoncer à l'Islam - l'âge de responsabilité est même de 7 ans. Dans les faits, les adolescents coupables ne seront pas exécutés avant leur 18 ans. Ils attendront jusqu'à leur majorité dans le couloir de la mort. Une torture que peu peuvent supporter.
Dès le 27 avril, le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme (HCDH) a dénoncé cette mesure mais le président maldivien a réaffirmé ses intentions. Sur Twitter, nombre d'internautes s'insurgent de «l'indifférence» dans laquelle cette loi a été réinstallée.
Traduzione a cura redazione Blog Human Rights
Le Parisien
Le Maldive ripristinano la pena di morte per i bambini, la rete si mobilita
Maldive, il suo sole , le spiagge e ... bambini nel braccio della morte. Dal 27 aprile, le isole a sud dell'India ha ripristinato la pena di morte per i bambini. La misura, contraria al diritto internazionale, mette fine ad una moratoria di 60 anni sulla pena di morte. Da mercoledì 21 maggio, è cresciuta la mobilitazione sui social network. Numerosi appelli anonimi cercano di boicottare questa destinazione da sogno che è diventato un inferno per gli abitanti.
E Jacques Maillot , il fondatore di " Nuove Frontiere", ha allertato i turisti Martedì su RMC "per un'azione immediata."
"In tempi di pace, qualsiasi condanna a morte è un crimine in sé", si indigna un internauta su Facebook . " Non dobbiamo più fare turismo lì", avverte un altro . Già all'inizio di maggio , lo storico Giuseppe di Bella si ribellò in Lenouvel Obs: "Mi vedo molto male a rilassarmi sulle spiagge di questo paradiso tropicale di cartone, senza preoccuparci del destino a cui potrebbe essere dato ai suoi abitanti, minori e bambini . Mi rifiuto di contribuire allo sviluppo economico di questi paesi." Secondo lui, "non c'è dubbio che le autorità delle Maldive potrebbero rivedere la loro posizione, se hanno percepissero un calo significativo nel settore del turismo. Ognuno di noi si baserà su quello che gli suggerisce la sua coscienza ...", ha incoraggiato.
Nel braccio della morte prima dei 18 anni
Maldive, l'Islam è la religione di stato . Quindi, per riconnettersi con la sharia che il presidente Abdulla Yameen Abdul Gayoom ha preso una tale decisione, insistendo sul fatto che "all'uccisione deve essere data l'uccisione. "E l'età della responsabilità penale è fissata a 10 anni, i bambini sono quindi sottoposti, così come gli adulti, al ritorno della pena di morte . Per alcuni reati come il consumo di alcol o l'apostasia - rinnegare la fede nell'Islam - l'età della responsabilità è anche di 7 anni. Di fatto, i ragazzi colpevoli non saranno eseguiti prima del 18. Essi attenderanno la maggiore età nel braccio della morte. Una torture che pochi possono sopportare.
Il 27 aprile , l'Alto Commissario delle Nazioni Unite per i Diritti Umani ( OHCHR) ha denunciato il provvedimento , ma il presidente delle Maldive ha ribadito le sue intenzioni . Su Twitter, molti utenti sono insorti per l'"indifferenza" in cui questa legge è stata restaurata.
Y a-t-il une pétition, quelles actions sont menées? Grazie Ezio.
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